Projets de recherche

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  • Implantation de nichoirs à bourdons artificiels en cannebergières

    Implantation de nichoirs à bourdons artificiels en cannebergières

    2023 à 2025 - Entomologie / Pollinisation

    Les bourdons sont d’excellents pollinisateurs pour la canneberge. Afin d’augmenter les espaces de nidifications, des nichoirs à bourdons artificiel ont été installés sur des cannebergières. L’objectif du projet est de déterminer le meilleur type de nichoir et le meilleur emplacement afin de favoriser la présence de bourdons indigènes sur les cannebergières commerciales.

    Chercheur(s) : Didier Labarre

  • Développement d’outils facilitant la réalisation et le succès de projets d’aménagements favorisants la biodiversité en cannebergières

    Développement d’outils facilitant la réalisation et le succès de projets d’aménagements favorisants la biodiversité en cannebergières

    2022 à 2025 - Pollinisation / Pratiques culturales

    La thématique des aménagements favorisant la biodiversité a fait l’objet de nombreuses recherches. Étant donné les caractéristiques uniques des cannebergières, il est difficile de transférer les connaissances pour cette culture. L’objectif de ce projet est de réaliser une revue de littérature, et d’implanter des aménagements (bancs d’essai) en collaboration avec des producteurs. Les bancs d’essais serviront de vitrine, et permettront la réalisation d’une fiche technique avec les bonnes pratiques à adopter pour réaliser un aménagement réussi sur une cannebergière.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, Noémie Gagnon Lupien, Dominic Desjardins

    Partenaire(s) : CETAB, BEA

  • Développement d’un engrais à base de fumier de poule et de frass de de mouches soldats noirs pour la culture de canneberges biologiques

    Développement d’un engrais à base de fumier de poule et de frass de de mouches soldats noirs pour la culture de canneberges biologiques

    2022 à 2023 - Fertilisation

    Entosystem est une entreprise située au Québec qui produit des mouches soldats noires à partir de déchets d’épicerie, pour la consommation animale. Un des sous-produits de l’élevage de masse d’insectes est le frass (mélange d’excrément et mues d’insectes). Le frass est un engrais potentiellement intéressant pour la canneberge, à cause de sa libération rapide d’azote sous forme d’ammonium dans les sols acides. L’objectif du projet est de tester plusieurs ratios de fumier de poule et de frass de mouches soldats noires comme engrais organiques pour la culture de canneberges.

    Chercheur(s) : Joël Passicousset, Didier Labarre, Christopher Warburton, Claudia Désilets.

    Partenaire(s) : Biopterre, CRIC, Entosystem, Acti-sol.

  • Évaluation des rendements, qualité des fruits, rusticité, résistance et résilience de nouveaux cultivars de canneberges

    Évaluation des rendements, qualité des fruits, rusticité, résistance et résilience de nouveaux cultivars de canneberges

    2022 à 2025 - Pratiques culturales

    Le Québec est la deuxième région productrice mondiale de canneberges, après le Wisconsin. Malgré l’importance de la culture de la canneberge dans le portrait agricole québécois, il n’existe actuellement aucun réseau ou structure encadrant l’essai de nouveaux cultivars. Toute l’expertise relative aux nouveaux cultivars se retrouve presque exclusivement aux États-Unis. Les producteurs québécois assument les risques associés à la plantation des premiers champs de ces nouvelles variétés en sol québécois. Néanmoins, l’utilisation de l’amélioration génétique au niveau des cultivars est un outil important au chapitre des pratiques culturales afin de réduire l’usage des pesticides, augmenter la résistance et résilience aux stress biotiques et abiotiques et s’adapter aux changements climatiques. Le projet a pour objectif de d’évaluation des rendements, qualité des fruits, rusticité, résistance et résilience de nouveaux cultivars de canneberges sous les conditions climatiques et pratiques culturales du Québec.

    Chercheur(s) : Pierre Lafontaine, Didier Labarre, François Gervais

    Partenaire(s) : CIEL, APCQ, CETAQ

  • Lutte biologique contre l’altise à tête rouge et la pyrale des atocas à l’aide de nématodes entomopathogènes

    Lutte biologique contre l’altise à tête rouge et la pyrale des atocas à l’aide de nématodes entomopathogènes

    2022 à 2025 - Entomologie

    La pyrale des atocas, Acrobasis vaccinii Riley, et l’altise à tête rouge, Systena frontalis (F.), sont deux espèces de ravageurs avec un potentiel de dommages élevés. La pyrale des atocas peut causer jusqu’à 45% de perte de rendements. Ce ravageur est particulièrement problématique sous gestion biologique étant donné qu’un seul produit phytosanitaire est actuellement homologué pour lutter contre celui-ci. L’altise à tête rouge est une espèce qui attire de plus en plus l’attention en raison d’une récente hausse des populations et des dommages observés au Wisconsin. Cette situation inquiète le Canada puisqu’aucun bio-insecticide n’est actuellement homologué et qu’un seul produit de synthèse est homologué sous gestion conventionnelle. Ce projet étudiera la susceptibilité de la pyrale des atocas et l’altise à tête rouge à différentes souches commerciales et taux d’application de nématodes entomopathogènes (NEP) en laboratoire et sur le terrain. L’objectif étant de mettre au point de nouvelles méthodes de lutte à l’aide de NEP contre les deux ravageurs de la canneberge.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, François Gervais

    Partenaire(s) : APCQ, CETAQ

  • Inventaire d’espèces et souches indigènes de nématodes entomopathogènes à proximité des cannebergières et efficacité contre la pyrale des atocas

    Inventaire d’espèces et souches indigènes de nématodes entomopathogènes à proximité des cannebergières et efficacité contre la pyrale des atocas

    2022 à 2023 - Entomologie

    Les nématodes entomopathogènes (NEPs) sont des agents de lutte biologique peu étudiés au Québec. Ce projet vise à dresser un inventaire des espèces et souches de NEPs présentes dans les milieux naturels à proximité de cannebergières commerciales. Une fois les NEPs identifiés, des essais seront réalisés pour évaluer la susceptibilité de la pyrale des atocas, Acrobasis vaccinii Riley, un ravageur majeur, aux NEPs indigènes.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, François Gervais

    Partenaire(s) : APCQ, CETAQ

  • Élaboration d’un outil interactif de prédiction du développement et de dépistage automatisé pour le suivi des populations de tordeuses des canneberges

    Élaboration d’un outil interactif de prédiction du développement et de dépistage automatisé pour le suivi des populations de tordeuses des canneberges

    2021 à 2024 - Entomologie

    La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner), est le ravageur primaire de la canneberge. En dehors des insecticides, les producteurs québécois disposent de très peu d’outils en phytoprotection et suivi des populations. De tels outils, bien que très utiles en production conventionnelle, sont cruciaux pour la gestion des ravageurs en régie biologique. Choisir le moment optimal pour appliquer les insecticides permet d’augmenter l’efficacité des traitements et de réduire les traitements nécessaires. Les objectifs du projet sont de 1) Optimiser le modèle bioclimatique de développement déjà existant pour la tordeuse des canneberges. 2) Créer un outil interactif permettant de modéliser l’impact des traitements sanitaires sur la dynamique des populations locales et de simuler les interventions futures afin de cibler les périodes optimales d’intervention. 3) Développer l’utilisation de pièges automatisés pour le dépistage des tordeuses des canneberges adultes.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, François Gervais, Daniel Cormier, Julien Saguez

    Partenaire(s) : APCQ, CETAQ, IRDA, CEROM

  • Guide des bonnes pratiques en production de canneberges

    Guide des bonnes pratiques en production de canneberges

    2020 à 2022 - Phytopathologie / Pratiques culturales / Biologie du sol / Gestion de l’eau / Fertilisation / Malherbologie / Entomologie / Pollinisation

    La culture de la canneberge a grandement évolué au cours des dernières décennies. Au cours des 10 dernières années, les superficies en production ont plus que doublé alors que les rendements ont plus que triplés. Cette augmentation des rendements s’explique notamment par la recherche et le développement de meilleures méthodes de production. En 1997, un « Bulletin technique d’information sur la production écologique de la canneberge » rédigé par le Groupe HBA experts-conseils en collaboration avec la Société d’agriculture de Nicolet a été publié. L’APCQ souhaite actualiser le contenu présenté dans ce premier document afin d’y intégrer les connaissances acquises au cours des 20 dernières années.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, François Gervais, Sébastien Careau, Gabriel Ayotte-Breton, Audrey Lachance, Simon Bonin, Prunelle Thibeault-Bédard

    Partenaire(s) : APCQ, CETAQ, Bureau d’écologie appliquée, Fruit d’Or

  • Tamisage d'insecticides et bioinsecticides pour lutter contre la tordeuse des canneberges et l'anthonome des atocas

    Tamisage d'insecticides et bioinsecticides pour lutter contre la tordeuse des canneberges et l'anthonome des atocas

    2020 à 2022 - Entomologie

    La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner), et l’anthonome des atocas, Anthonomus musculus Say, sont des ravageurs majeurs de la culture de la canneberge au Québec. En raison de la pression élevée de ces ravageurs, des interventions phytosanitaires sont nécessaires chaque année pour limiter leurs dommages. Les options de méthodes de lutte pour les producteurs sous gestion biologique sont toutefois très limitées. De plus, dans une optique de bonnes pratiques agricoles et durabilité de l’approche de lutte, il est important d’offrir une plus grande diversité de produits phytosanitaires à faible risque pour les producteurs sous gestion conventionnelle. Le projet proposé vise donc à évaluer l'efficacité de 8 bioinsecticides et insecticides à risques réduits contre ces ravageurs majeurs de la canneberge au Québec.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, François Gervais

    Partenaire(s) : APCQ, CETAQ

  • Lutte contre tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas par confusion sexuelle

    Lutte contre tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas par confusion sexuelle

    2019 à 2023 - Entomologie

    La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner), et la pyrale des atocas, Acrobasis vaccinii Riley, sont deux ravageurs majeurs de la canneberge. Au cours des dernières années, une augmentation du nombre de traitements phytosanitaires employés pour lutter contre ces ravageurs a été observée, ce qui met en évidence les limites de la lutte chimique. La confusion sexuelle est une méthode de lutte alternative aux insecticides. Elle possède les avantages d’être plus ciblée, de réduire les risques liés à l’usage d’insecticides, de prévenir l’apparition de résistance et d’être facilement incorporée dans une stratégie de lutte intégrée. L’objectif de ce projet est d’évaluer le potentiel de la confusion sexuelle pour lutter contre la tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas en cannebergière. Le projet met à l’essai un diffuseur de phéromone novateur, élaboré pour les spécificités de cette culture. L’efficacité à réduire les populations et les dommages des deux ravageurs ciblés, ainsi que la durée d’efficacité des diffuseurs sont évalués en laboratoire et en champs.

    Chercheur(s) : Cyrane Pouët, Didier Labarre, Daniel Cormier, Éric Lucas, François Gervais

    Partenaire(s) : UQAM, APCQ, IRDA, CETAQ

  • Évaluation de l’influence de facteurs biotiques et abiotiques sur l’efficacité de l’inondation printanière comme moyen de lutte contre la tordeuse

    Évaluation de l’influence de facteurs biotiques et abiotiques sur l’efficacité de l’inondation printanière comme moyen de lutte contre la tordeuse

    2019 à 2022 - Entomologie

    La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner), est un ravageur majeur dans la culture de la canneberge qui peut entrainer des pertes de rendements atteignant 95% de la récolte. La lutte chimique avec des insecticides de synthèse ou des bioinsecticides est le principal moyen utiliser par les producteurs pour contrôler ce ravageur. Les producteurs biologiques sont particulièrement vulnérables car les insecticides autorisés en régie biologique présentent une efficacité variable et limitée. L’inondation des champs de canneberges au printemps était un moyen de lutte qui était couramment utilisé pour lutter contre les ravageurs en cannebergières avant l’apparition des insecticides de synthèse. Une inondation de 48h à la fin du mois de mai est toujours pratiquée pour lutter contre l’anthonome de l’atocas. Au cours des dernières années, des diminutions importantes des populations de tordeuse des canneberges ont été observées à la suite des inondations. L’objectif de ce projet est d’évaluer l’effet des facteurs biotiques et abiotiques sur l’efficacité de l’inondation printanière afin de développer une stratégie de lutte physique contre la tordeuse des canneberges en régie biologique.

    Chercheur(s) : Jonathan Bernardo-Santos, Didier Labarre, Daniel Cormier, Éric Lucas, François Gervais

    Partenaire(s) : UQAM, APCQ, IRDA, CETAQ

  • Évaluation de l’efficacité de HARVANTA® pour lutter contre des ravageurs majeurs de la canneberge

    Évaluation de l’efficacité de HARVANTA® pour lutter contre des ravageurs majeurs de la canneberge

    2019 à 2021 - Entomologie

    L’anthonome des atocas, Anthonomus musculus Say, la tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner), et la pyrale des atocas, Acrobasis vaccinii Riley, sont les trois ravageurs principaux de la canneberge au Québec. Actuellement, un seul insecticide est homologué au Canada pour lutter contre l’anthonome des atocas, soit l’ACTARA® 25WG (thiaméthoxame). Appartenant à la famille des néonicotinoïdes, son homologation a récemment fait l’objet d’une réévaluation par l’Agence canadienne de lutte antiparasitaire (ARLA); au terme de laquelle il a été conclu un retrait complet de tous les produits ayant comme matière active le thiaméthoxame (PSRD2018-02). Cette décision laisse donc les producteurs de canneberges sans produit phytosanitaire pour lutter contre ce ravageur majeur. Par ailleurs, bien que quelques produits soient homologués pour lutter contre la tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas, deux produits sont majoritairement utilisés, soit l’ALTACOR® (chlorantraniliprole) et l’INTREPID® 240 (methoxyfenozide). Chaque année, des traitements insecticides sont nécessaires pour limiter les dommages occasionnés par ces ravageurs; ce qui donne lieu à de très courtes rotations entre ces deux produits. L’objectif du projet est donc d’évaluer l’efficacité de HARVANTA® 50SL (cyclaniliprole) pour lutter contre l’anthonome des atocas, la tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas afin d’appuyer une demande du Programme d'extension du profil d'emploi pour usages limités à la demande des utilisateurs (PEPUDU). Pour se faire, des essais d’efficacité en conditions semi-contrôlées en champs ont été effectués aux étés 2019 et 2020. Les résultats montrent une augmentation significative de la mortalité de l’anthonome des atocas (2019 et 2020) et de la tordeuse des canneberges (2019 seulement) au sein des parcelles traitées avec HARVANTA® 50SL par rapport aux parcelles témoins. L’utilisation de cet insecticide a également entraîné une diminution significative des dommages associés à l’anthonome et la pyrale des atocas (2019 et 2020). Ces résultats suggèrent une efficacité adéquate de HARVANTA® 50SL pour lutter contre au moins deux ravageurs principaux de la canneberge au Québec.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, Annabelle Firlej, François Gervais

    Partenaire(s) : APCQ, IRDA

  • Confinement des abeilles comme mesure de protection contre l'exposition aux pesticides suivant un traitement phytosanitaire

    2019 à 2021 - Entomologie / Pollinisation

    La présence de ruches d'abeilles en cannebergières au moment de la floraison est primordiale afin d'obtenir une productivité optimale. Pendant cette période, des interventions phytosanitaires contre la pyrale des atocas et la tordeuse des canneberges sont effectuées, sans quoi les producteurs s'exposent à des dommages majeurs (perte de 30 à 60 % de la récolte). Ces interventions ont lieu systématiquement de nuit, mais une étude antérieure a permis d'identifier l'exposition matinale des abeilles au feuillage humidifié par le traitement comme étant une cause potentielle d’intoxication des abeilles aux pesticides. La méthode la plus sécuritaire pour protéger les abeilles serait donc de les confiner temporairement dans leur ruche afin de laisser le temps aux pesticides de sécher. Or, le confinement peut également causer des conditions létales de chaleur et de manque d'oxygène au sein d'une colonie. Ce projet vise à développer une méthode de confinement efficace et sécuritaire pour les colonies d’abeilles dans leur ruche afin de les protéger contre l’exposition matinale aux pesticides.

    Chercheur(s) : Madeleine Chagnon, Didier Labarre, Georges Martin, François Gervais

    Partenaire(s) : CRSAD, APCQ, CETAQ

  • Évaluation des impacts d'un retrait préventif des ruches d'abeilles sur les rendements en cannebergières

    Évaluation des impacts d'un retrait préventif des ruches d'abeilles sur les rendements en cannebergières

    2017 à 2019 - Pollinisation / Entomologie

    Durant la floraison, la culture de la canneberge est traitée contre la pyrale des atocas, Acrobasis vaccinii Riley et la tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner) au risque de perdre de 30 % à 60 % de la récolte. Pour un rendement moyen de 25 000 lb/acre, cette perte peut se chiffrer entre 1875 $ et 4875 $ l'acre selon le prix du marché actuel. Par ailleurs, au cours des dernières années, des cas de mortalité d'abeilles ont été rapportés suivant des interventions phytosanitaires effectuées de nuit, et ce, autant chez des producteurs biologiques que conventionnels. Pour parer à cette problématique, certains producteurs, à la demande de leur apiculteur, acceptent que les ruches soient retirées avant qu'un traitement soit fait à la ferme. Le retrait des ruches se produit à la mi-nouaison alors que ni la floraison, ni la pollinisation ne sont terminées. L’objectif du projet était donc d’évaluer l'impact sur la mise à fuit et les rendements d'un retrait hâtif à la mi-nouaison (50 % de la nouaison de fruits sur les plants) des ruches louées dans les cannebergières.

    Chercheur(s) : Didier Labarre, Madeleine Chagnon, Isabelle Drolet

    Partenaire(s) : Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)

  • Inondation printanière des bassins de canneberges comme moyen de lutte au charançon des atocas

    Inondation printanière des bassins de canneberges comme moyen de lutte au charançon des atocas

    2014 à 2016 - Entomologie

    Depuis plusieurs années, de sérieuses augmentations de la population du charançon des atocas, Anthonomus musculus, ont été observées dans les champs de canneberges. Ce coléoptère cause des dommages directement aux principales parties reproductives d’un plant. Il n’existe actuellement aucun moyen de contrôle efficace en régie biologique. En régie conventionnelle, un seul produit est homologué pour lutter contre cet insecte, l’Actara®25WG. L’objectif du projet est d’évaluer l’efficacité de l’inondation printanière des bassins de culture pendant 48 heures pour lutter contre ce ravageur. Le projet a été réalisé dans le Centre-du-Québec en 2014 et 2015.

    Chercheur(s) : Isabelle Drolet, Annabelle Firlej

    Partenaire(s) : CETAQ, IRDA

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